Lucie vit une enfance paisible dans le Berry. Un ogre, avide de petites filles, rôde dans le pays. Lucie est sa victime. Armée de son regard, elle entreprend contre l'ogre, qu'elle vaincra. Il faudra très longtemps à Lucie pour réapprendre la vie
Tobie se lie d'amitié avec Raphaël et partent en voyage ; au cours de ce voyage, ils rencontrent un peintre et sa fille Sarra aussi belle que maudite : sept hommes se sont épris d'elle et sont morts. L'amour de Tobie pour Sarra mettra-t-il fin au sortilège ?
Ludvik, déçu, désabusé, a perdu l'enthousiasme de sa jeunesse. De multiples rencontres et coïncidences lui délivrent quelques messages mystérieux qui s'éclairent à la mort de son vieux maître
À la première personne le récit de la vie d'une abandonnée qui sera toujours solitaire... D'arrachement en emplois subalternes, la narratrice dit son amour du monde et sa quête de Dieu.
"Partir c'est mourir un peu" dit le leitmotiv. L'auteur entreprend, pour saisir les traces de l'invisible présence de Dieu, une lecture de textes sacrés et profanes avec des peintures, philosophes, écrivains.
Après une grave maladie qui l'a amputé de toute mémoire, Franz-Georg (cinq ans) doit tout réapprendre : qu'il est allemand, que son pays est en guerre, que son père médecin dirige un grand établissement et que sa mère l'aime autant que sa patrie. Il a aussi Magnus, son ours en peluche à l'oreille légèrement brûlée.
Après une grave maladie qui l'a amputé de toute mémoire, Franz-Georg (cinq ans) doit tout réapprendre : qu'il est allemand, que son pays est en guerre, que son père médecin dirige un grand établissement et que sa mère l'aime autant que sa patrie. Il a aussi Magnus, son ours en peluche à l'oreille légèrement brûlée.